Dans un marché de l'art estimé à 65 milliards d'euros en 2025, l'IA n'est plus un gadget – c'est un allié indispensable. Prenons l'exemple de "Les Demoiselles d'Avignon" de Picasso (1907) : une analyse IA récente a détecté des couches cachées via scans infrarouges virtuels, révélant des esquisses effacées qui questionnent son évolution cubiste. Contrairement aux méthodes traditionnelles (expertise oculaire, coûteuse et subjective), l'IA traite 300+ critères (pigments, textures, signatures numériques) en secondes, réduisant les faux de 30% selon Sotheby's.
Pour les collectionneurs, cela signifie une traçabilité accrue via blockchain : chaque œuvre devient un NFT patrimonial, liant histoire et modernité. Comme la Mission Île de la Cité a restauré les vitraux de la Sainte-Chapelle pour les rendre "vivants", l'IA ressuscite les secrets enfouis. Risques ? Une sur-dépendance à la tech, mais notre expertise hybride (IA + conservateurs) garantit l'authenticité humaine.
Le marché NFT chute de 90% post-2021, mais rebondit en 2025 avec +25% (Deloitte) pour l'art "hybride". Exemple : La Joconde numérisée comme NFT (Louvre, 2024) fusionne Renaissance et blockchain, rendant l'art accessible sans toucher l'original. Pour nous, c'est l'extension de la Mission : digitaliser le patrimoine pour une valorisation infinie. Risques : volatilité, mais notre courtage sécurise les transactions.